Le quotidien du pharmacien du 12 février 2007 publie un billet sur Champix : Champix : une double action pour arrêter de fumer. Voici un extrait de ses recommandations :
Il n’y a pas de traitement de première ou de deuxième intention, et le médecin est libre de choisir, parmi l’arsenal thérapeutique disponible, le traitement le plus approprié à son patient en fonction de ses habitudes de vie et de ses préférences. Avec varénicline, l’adaptation posologique ne se fait pas en fonction de la dépendance mais de la réactivité du patient à son traitement.
Le pharmacien confronté à un candidat au sevrage en échec de traitement avec les substituts nicotiniques doit l’encourager à envisager une autre alternative thérapeutique et l’orienter vers un médecin ou un tabacologue.
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