L’obésité est devenue, malbouffe et nourriture industrielle aidant, un véritable problème aux Etats-Unis. Or l’on sait que cesser de fumer génère une prise de poids dans trois cas sur quatre, à tel point que certains fumeurs et fumeuses s’abstiennent plutôt de manger que de fumer.
Une étude états-unienne vient de
montrer que la baisse du tabagisme, notable outre atlantique, ne crée pas
d’obésité supplémentaire : l’impact est de l’ordre de 1%. Et il est estimé
que si tous les américains cessaient de fumer, la proportion d’obèses dans la
population.ne progresserait que de 1,7%. Au stade où ils en sont arrivés, cela peut être considéré comme négligeable.
L'accroissement de l’obésité n'est pas liée à la réduction de la proportion de fumeurs.
Source : Medical News Today
"Effects of Changes in
Smoking Prevalence on Obesity Prevalence in the United States."
Katherine M. Flegal, PhD, Centers for Disease Control and Prevention, National
Center for Health Statistics, Hyattsville, Md.
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