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Une étude montre quand les gommes à la nicotine n'aident pas à l'arrêt du tabac
Sectes : la Tabacologie est condamnée, mais peut poursuivre son activité
Potins Twitter #fumer #tabac #tabagisme
Laïcité médicale : pour une séparation de l'allopathie et de l'État
Réévaluation du service médical rendu de Champix
Hausse des prix des cigarettes retardée : l'industrie du médicament déçue
Agression des fumeurs : une stratégie non motivante
Par Randall (Pastiche)
La Scientologie Tabacologie française a été condamnée à 600.000 euros d'amendes pour "escroquerie en bande organisée" mais elle est autorisée à poursuivre son activité.
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Pasteur était en effet un catholique engagé qui s’est efforcé de faire coller ses théories médicales aux croyances dominantes de l’époque… quitte à ignorer ou dénaturer certains faits.
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Pour neutraliser ceux qui voudraient développer la vente de cigarette via internet, il a acquis les droits d'utilisation des noms de domaine suivants :
Gageons qu'il y aura quelques petits malins bien ennuyés !
Il y a un an jour pour jour sur unairneuf.org
La vie devient problématique pour les fumeurs. Encore une preuve ?
Le blog des usagers des transports de l’ouest Francilien les supplie :
Fumeurs, ne jetez pas vos mégots sur la voie,
cela aggrave le retard chronique du Transilien !
(cliquer pour agrandir)
Crédit : Jean-Philippe et Franck Fumeurs ne jetez pas vos mégots
Relevé sur le journal d'annonces gratuites Marche.fr, cette petite annonce d'un bordelais repenti :
« Comme cette boite je n'en aurai pas l'utilité dans l'immédiat, je la propose à 70 € frais d'expédition compris. »
À lire sur le même sujet
À la demande de la Direction Générale de la Santé, la Commission de la Transparence de la Haute Autorité de Santé (HAS) a réévalué le service médical rendu par Champix.
Compte tenu des effets indésirables en particulier ceux en relation avec le suicide et l’état dépressif, le rapport efficacité/effets indésirables de Champix est moyen.
Il ne doit être utilisé qu'en seconde intention, après échec des traitements nicotiniques de substitution.
Champix, agoniste partiel des récepteurs nicotiniques cérébraux à l’acétylcholine, est indiqué dans le
sevrage tabagique de l’adulte.
Compte tenu des effets indésirables, en particulier ceux en relation avec le suicide et l’état dépressif, le rapport efficacité/effets indésirables de Champix est moyen. Il ne doit être utilisé qu'en seconde intention, après échec des traitements nicotiniques de substitution.
Stratégie thérapeutique
La prise en charge du fumeur motivé à l’arrêt du tabac repose sur une évaluation clinique permettant de déterminer son degré de dépendance à la nicotine, de repérer des troubles anxio-dépressifs et une autre dépendance associée (alcool, cannabis…). Un soutien psychologique est recommandé en association au traitement médicamenteux, quel qu’il soit.
Place de la spécialité dans la stratégie thérapeutique
Compte tenu d’une part de la bonne tolérance des traitements nicotiniques de substitution et d’autre part des effets indésirables, en particulier psychiatriques, de la varénicline, la prescription de Champix est à réserver aux échecs des traitements nicotiniques de substitution. Champix représente un moyen thérapeutique supplémentaire de prise en charge du sevrage tabagique.
Le traitement doit être arrêté en cas d’agitation, d’humeur dépressive, de modifications du comportement ou de pensées suicidaires.
Données cliniques
Une étude randomisée ouverte a comparé l’efficacité de la varénicline à celle de patchs nicotiniques chez 746 adultes. Les résultats doivent être considérés avec réserve dans la mesure où cette étude a été réalisée en ouvert et dans une population peu extrapolable à la population générale de fumeurs (en particulier par l’exclusion
des jeunes fumeurs et des sujets avec une affection cardiovasculaire ou psychiatrique).
De plus, à 6 mois et à 1 an, aucune différence significative n’a été mise en évidence sur le taux d’abstinence entre la varénicline et les patchs nicotiniques.
Les données disponibles ne permettent pas de mettre en évidence une supériorité de la varénicline par rapport aux patchs nicotiniques à long terme dans la population de fumeurs susceptibles d’être traités.
La survenue d’événements indésirables graves, en particulier d’un risque suicidaire, a conduit à des modifications substantielles du résumé des caractéristiques du produit (RCP) signalant le risque d’aggravation de maladie psychiatrique, de dépression, d’idées suicidaires et de tentatives de suicide.
Intérêt du médicament
Compte tenu de la tolérance des traitements nicotiniques de substitution et des effets indésirables de la varénicline, la prescription de Champix est à réaliser après échec des traitements nicotiniques de substitution.
Pour en savoir plus, synthèse ou avis complet de la HAS ci-après :
Il y a un an jour pour jour sur unairneuf.org
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La hausse des prix des cigarettes retardée
Marie-Josée COUGARD écrit :
« Les associations antitabac et le ministère de la Santé estiment que seule une hausse des prix significative, d'au moins 10 %, et répétée chaque année est susceptible de réduire les ventes et le tabagisme.
Les associations sont d'autant plus combatives que le marché du tabac a légèrement progressé en volume au premier semestre. »
Connaissez-vous de nombreux adhérents - payants - de ces mystérieuses associations antitabac. Non ? À défaut qui, selon vous, les financent ? Car elles ne peuvent financer des campagnes médiatiques avec trois kopeks.
L'argent public ? Alors elles servent de cache-sexe à une politique de l'Administration, et notamment de Bercy, qui s'y entend pour faire rentrer impôts, taxes et autres accises. En outre cela reviendrait à faire financer la guerre anti-tabac par une majorité de français qui ne cautionnent pas cet acharnement pathologique contre les fumeurs.
La vérité est que ces associations sont financièrement aidées par des acteurs économiques. Qui peut avoir intérêt à promouvoir la réduction du tabagisme ? En premier lieu l'industrie du médicament bien sûr. L'accroissement du prix de vente du tabac va profiter à l'industrie pharmaceutique commercialisant des prétendues 'aides à l'arrêt du tabac'. Et pas seulement par le mécanisme d'incitation à l'arrêt, que l'on sait inopérant passés les premiers jours de l'augmentation.
Cela permettra surtout de faire proportionnellement varier les prix de vente de la nicotine pharmaceutique, déjà vache à lait à hauteur de plus de 100 millions d'euros annuels en France. La nicotine des bureaux de tabac étant en concurrence avec la nicotine des apothicaires, si la première augmente, la deuxième peut le faire aussi.
Et c'est super bonus en outre : quand l'État augmente les taxes, on peut penser qu'il y a redistribution dans le corps social. Quand les laboratoires augmentent leurs prix, cela va dans la poche des labos : tout bénéfice.
Quel est l'intérêt de nos trésoriers de Bercy ? Simplement, comme les aides à l'arrêt du tabac n'ont qu'une influence minime sur le taux de tabagisme en France - proportion de fumeurs comme consommation du tabac - il n'y a pas de raisons de se priver d'un petit geste aux industriels amis. Ces oripeaux sanitaires ne convainquent personne, il s'agit de poudre aux yeux.
Le détail qui tue : La France
est le pays d'Europe Continentale où le prix des cigarettes est le plus
élevé. Cela n'a pas empêché qu'elle soit coiffée du bonnet d'âne
concernant la prévention du tabagisme. Selon le dernier Eurobarometer de l’Union européenne, la France arrive en 22e position pour son taux de fumeurs quotidiens parmi les 27 pays de l’Union européenne, ex-aequo avec la Pologne. Seuls les Grecs, les Hongrois et les Bulgares fument davantage que les Français.
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