Le succès actuel de la médicalisation de l’arrêt sape délibérément la confiance des fumeurs dans leur capacité à s’approprier un processus dont des millions d’ex-fumeurs ont prouvé qu’il fonctionne beaucoup mieux que n’importe quel autre.
Le volume de recherches et d’efforts destiné à l’arrêt par voie professionnelle et pharmacologique est inversement proportionnel à celui étudiant la manière dont les ex-fumeurs s’arrêtent réellement.
Il faut que nous restaurions la confiance des fumeurs dans leur capacité à faire ce que littéralement des millions de gens ont fait.
Simon Chapman : “The inverse impact law of smoking cessation”,
The Lancet, n° 373, p. 701-702 (2009).
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